Seamarmot's nest

La marmotte marine est un animal canadien souvent vu près des rivages du Saint-Laurent. Son pellage est brun et ses yeux brillants d'intelligence. Si vous en croisez une sur votre chemin, faites attention. Elle est amicale, mais reste tout de même un animal sauvage potentiellement dangereux.

Saturday, August 26, 2006

Akuma no...

Je vais critiquer deux one shots qui se suivent, donc ca ne fait plus vraiment de soneshots.. mais bon...

Akuma no Sasayaki et sa suite, Akuma no Himitsu par Hinako Takanaga sont un yaoi.

Le père Marlowe est un prètre dévoué à sa communauté. Un jour, il trouve un homme sur le portique de son église. Il est blessé autant physiquement que spirituellement. Il se nomme Raoul et depuis enfant, il se fait traiter de démon par tout le monde à cause qu'il a des cornes et une queue pointue. Le père marlowe n'y croit pas qu'il soit un démon parce que Raoul est vraiment gentil et attachant donc il le garde chez lui. Un jour, Raoul tombe malade et il croit mourir. Il "viole"donc son cher père Marlowe (mouais... le père hésite un peu, mais pas long ¬_¬; ) et ben... ils découvrent que Raoul est un Incubus. Dans la suite, Un des centaines de frères démoniaques de Raoul vient le chercher parce qu'ils l'ont perdu peu de temps après sa naissance sur terre, mais Raoul ne veut pas partir car il aime le père Marlowe...


Sur une échelle de un à cinq, où le un signifie insuportable et le cinq signifie excellent, je donne:

Histoire: 2 (je me sens stupide à lire ce genre de trucs là, même avec un fangirl factor ¯.¯; )
Art: 3 (c'est pas moche, mais ya beaucoup de juteux... )
Mecs: 3 (ya que de ça, et ils sont pas vraiment attachants ;.; )
Chicks: 1, il n'y en a pas et c'est domage.
Fangirl factor: 2
Normal-me factor: 2

Ce fut une histoire qui aurait pu être bonne, mais il y a juste trop de trucs qui font que ça ne clique pas avec moi. Je ne recommande pas cette histoire pour les ados, et ça à une vision du sexe entre hommes vraiment irréaliste. À lire pour passer le temps ou par curiosité.

Aisareru Karada

Aisareru Karada de Erio Hori est un autre oneshot yaoi que j'ai lu.

Itou Yui est un adolescent de dix-sept ans qui est chétif et petit. Tout le monde le prend pour une fille et il déteste ça. Un jour, il voit un poster à un gym où on voit un corps musclé. Il veut avoir ce corps, donc il s'abonne à ce gym et se fait entrainer par l'instructeur Tachibana, qui est très exigent. Avec le temps, il s'attache à Tachibana, mais ce dernier change de job à moins de trois mois avant la fin de son entrainement et Yui va donc essayer de le retrouver.

Et il y à bien sur du smex dans cette histoire.

Sur une échelle de un à cinq où le un signifie pourri et le cinq signifie excellent, je donne:

Histoire: 3 (c'est banal, mais ca passe bien le temps)
Art: 3 (c'est pas laid ni très beau)
Mecs: 3 (Tachibana est hot, mais Yui-kun m'énnerve ¬_¬; )
Chicks: 1 (le secrétaire n'a pas de personalité)
Fangirl factor: 3
Normal-me factor: 2 (ya un autre instructeur au look pervers qui m'énnerve... brrr...)


Donc je conclues que c'est une autre histoire à lire si on veut passer le temps, mais ça n'ammène rien de plus de la lire ou non. C'est pas mauvais au point de vouloir partir en croisade contre l'auteure, mais c'est pas bon au point de vouloir lui acheter des fleurs non plus.

Air

Air est un oneshot de Sanae Rokuya. C'est un Yaoi, et je crois bien que c'est le premier que je critique. Je vais garder le même système de critique, même si certains pointages en souffriront.

Mizumiro Yugi et Nobuyuki sont frères par marriage. Par contre, un an plus tard, le père de Yugi meurt et il déprime. Nobuyuki va lui promettre d'être toujours à ses côtés et Yugi blague qu'il va devenir son air. Quelques années plus tard, Nobuyuki est traité comme un servant par son frère qui lui envoies tout le temps des messages textes sur son cellulaire pour lui emmener des condoms ou pour gagner des paris qu'il fait avec ses amis, mais Nobuyuki ne se plains jamais, ce qui énnerve Yugi qui souhaiterait une réaction. À cause de sa haine de lui même, Yugi aura un accident et ce sera la goutte qui fera déborder le vase pour Nobuyuki...

Bien sur, comme c'est un yaoi, il y a du smex dans cette courte histoire.

Sur une échelle de un à cinq où le un signifie insuportable et le cinq signifie merveilleux, je donne:

Histoire: 2 (elle est plutot banale et pas crédible)
Art: 4 (c'est quand même joli)
Mecs: 3 (Encore une fois, pas trop crédible...)
Chicks: 1 (Elles sont quasi innexistantes et vraiment dindes)
Fangirl Factor: 3 (j'ai vu des meilleurs yaoi ou shonen-ai)
Normal Factor: 2 (c'est pas de la merde, mais c'est pas dans ma liste des histoires a absolument relire)

Donc je ne recommande pas vraiment cette histoire aux gens, et surtout pas aux adolescentes puisqu'il y a un peu trop de jus dessinné. C'était une de ses histoires pour passer le temps...

Ai no Tame ni

Ai no Tame ni de Kazune Kawahara est un manga composé de trois courtes histoires attachantes. Cette mangaka à aussi fait Koukou Debut, qui est un de mes manga préférés de l'heure.

Dans la première Histoire, on suit Harada Akira, une jeune fille match-maker compulsive qui est amie avec tout le monde, que ce soit garçons où filles. Elle à un taux de succès incroyable, ce qui fait que tout le monde compte toujours sur elle pour se trouver un ou une amoureu(se). Un jour, Furuya Takahiro vient lui demander de l'aide pour matcher un de ses amis qui se cherche une petite amie. Aki-chan n'aime pas trop Furuya parce qu'il la traite de vieille mégère et rit d'elle. Tout ça pour dire que petit à petit, Aki va tomber amoureuse de lui et va refuser de le matcher avec de ses amies, ce qui va causer tout un émois à l'école!

Dans la seconde courte histoire, on a Yamomato Megumi, une jeune fille romantique qui est pognée dans une école de filles. Elle souhaite avoir un petit ami et lorsque Hashimoto Naotatsu lui demande à leur première rencontre dans la rue de devenir sa petite amie, elle accepte rapidement, à la grande consternation de ses amies. Les deux commencent à sortir ensemble et s'entendent bien, mais les amies de Megumi n'arrètent pas de lui recommander de mettre fin à ça parce que c'est louche. Il s'avère qu'elles avaient raison et que Naotatsu lui à demandé de sortir avec lui à cause d'un pari! Comment règleront-ils leur problème?

Dans la troisième et dernière histoire, on suit cette fois-ci un jeune homme, Mizubayashi (pas réussie à trouver son prénom), qui rêve de recevoir un chocolat pour la Saint-Valentin de sa voisine de pupitre, Ueda Umi. Il à toujours eu un petit kick dessus et l'aide toujours quand elle est dans un pétrin, mais se dit toujours que c'est juste pour les chocolats... Par contre, quand il ne reçoit pas de chocolats d'Umi, il va comprendre la profondeur de ses sentiments d'adolescent emo (mais cute).


Sur une échelle de un à cinq où le un signifie insupportable et cinq signifie orgasmique, je donne les notes de;

Histoire: 5 (les trois histoires sont bonnes, mais la première à vraiment boosté la cotte à cinq parce qu'elle est excellente.)
Art: 3 (c'est du shojo plutot normal, même si j'adore les gars que cette mangaka fait. Ses filles sont plutot moches ^-^; )
Mecs: 5 (yep, c'est du croustillant)
Chicks: 4 (elles sont mal dessinnées, mais leur personalitées sont variées et attachantes, mais surtout, crédibles des jeunes ados de notre ère)
Fangirl factor: 5 (la première histoire me fait squealer, et la troisième à comme héros le gars le plus cute du livre)
Normal-me factor: 4 (c'est quand même excellent)


Bref, je recommande fortement ces courtes histoires à tout le monde. C'est du romantique, mais crédible. J'adore vraiment ces histoires là et elles ont une part importantes dans mon coeur... snif. Bref, si vous trouvez ça, ne jugez pas que du dessin et lisez la, l'histoire vaut la peine!

After School

Après une petite pause de post, voici la critique d'une courte histoire romantique; After School, de Miyasaka.

Le scan est de qualité douteuse, mais bon, c'est gratuit, donc je ne chiales pas. C'est juste domage que ce soit trop mauvais pour être capable de lire le prénom du mangaka.


L'histoire commence avec Sarara (Je n'ai trouvé son nom qu'aux dernières pages, et même là, est-ce son prénom ou son nom de famille? >-<; ) qui sort avec un kouhai (élève plus jeune), Kuwatori Ondori. Kuwatori est très grand, sérieux, et je dois avouer, à craquer tellement il est cute, par contre, les deux ne peuvent se voir qu'au retour des classes, en prennant le train ensemble.

Sarara aime une petite patisserie où elle va souvent avec son amie de fille, et elle aimerait y aller avec son copain, mais celui-ci refuse toujours froidement. Ils ne se sont jamais vraiment tennu la main, et surtout pas embrassés, donc Sarara commence à douter qu'une fille banale comme elle puisse garder un beau morceau comme Kuwatori. Elle se mettra donc à le suivre et découvrira quelque chose qu'il aurait voulu laisser dans l'ombre, et qui changera leur relation pour toujours (dun dun duuunnnnn..).


Je ne me souviens plus trop de mon échelle d'évaluation dans les critiques précédentes, donc je vais faire de mon mieux. Sur une échelle de un à cinq où le un signifie une insatisfaction profonde et le cinq un émerveillement intense, je donne à cette courte histoire d'un chapitre;

Histoire: 3 (plutot banal, mais cute. Ca passe bien le temps)
Art: 3 (c'est plutot vide, mais pas laid donc je n'ose pas mettre moins que ça)
Mecs: 4 (Il est vraiment cute... j'en bave à y penser ¯¬¯ )
Chicks: 3 (Elle est sympa, mais je ne me suis pas sentie vraiment emballée de suivre son histoire d'amour)
Fangirl factor: 4
Normal me factor: 3

En tout et partout, une histoire cute qui se lit bien à part pour la mauvaise qualité du scan, je dirais. Une histoire saine et parfaite pour pas mal toute jeune fille. Je recommande ça plus que de regarder Dragon Ball GT à 3h30 du mat en tout cas ¯.¯;