Laurie m'a lancée un défi il y a fort longtemps donc je vais y répondre. ouf.. ca a prit du temps trouver son sujet pour que je sache de quoi elle me parlait.
Je suis sencée écrire 5 faits que les gejs ne savent pas de moi, mais je suis tellement bavarde et honnète que tout le monde les savent déjà probablement. Je vais donc dire 5 trucs de mon enfance.
1) Quand j'était petite, mon père nous faisait écouter souvent les Star Wars. Nous avons donc pris l'habitude mon frère, ma soeur et moi de jouer à ça. Nous volions les bas-colants de nylons à ma mère et nous les remplissions de bas et foulards, les mettions sur nos têtes, et gonflions des baudruches pour nous faire des seins. Bruno avait toujours les plus grosses balounnes (pardonne-moi de le dire, si tu lis ça ; o; ). Nous étions aussi l'hiver des chevreuils en sautillants sous les lumières de Noël dehors, comme Bambi... on n'avait vraiment pas d'allure à avoir tant de rêves... oh, et comme j'ai dit un truc qui pourrait être considéré humiliant pour Bruno, je vais en dire un pour moi. J'était vraiment amoureuse de Batman quand j'était petite. Ça à duré longtemps en plus. J'avais des Batmans que j'aimais plus (Val Kilmer était cute plus que Adam West disons), mais il à été le personnage fictif que j'ai aimée le plus *u.u*
2) Nous avions un étang artificiel au Canton-De-Roxton où on jouait souvent. L'été, on chassait des grenouilles (j'avais peur de ses battraciens dans le temps en plus) et on a vus une grenouilles géante verte pomme une fois. L'hiver, on patinait et jouions au hockey avec des crottes rodes de cheval. Quand on se baignaient, j'était la reine de de nos concours de Swamp-Monster. J'avais une superbe technique où je tournais les bras et mon corps et mes jambes en ronds dans des tas d'algues en même temps et j'ammassait toujours les plus grosses quantitées. J'adore les algues, qu'elles soient rugueuses, douces ou visqueuses.
3) J'ai tuée et j'en comprends que mieux la valeur de la vie. J'ai vu mourir et je n'en comprends que mieux la valeur du deuil. J'ai vu naître la vie et je n'en comprends que mieux la valeur de la mort. Oui, les vies que j'ai pris, ce n'était que des accidents. Je serrait trop fort des crapaux ou je leurs pillait dessus sans faire exiprès, mais ça n'empèche pas que je regrette maintenant toutes ses fois là. J'ai vu de mes chatons mourir parce que la mère n'avait pas assez de lait pour prendre soin d'eux et même si j'essayait d'en prendre soin, j'était trop jeune et irresponsable pour le faire et les faire survivre. L'oisillon que nous devions nourir toutes les heures d'un tas d'insectes et que nous avons oubliés parce qu'on est allés joués et qui est mort de faim et qu'après ma mère s'est réfugiée dans la douche pour pleurer, ça m'a brisée le coeur que j'aie ainsi été aussi stupide que ma quête de plaisir était plus importante que la vie. L'odeur des plumes bouillies de poules que je déplumaient et la sensation de mes mains brûlées et pleines de duvet visqueux et rosé, ça va me suivre pour le restant de mes jours que lorsqu'on tues, on mange. J'ai plantée des fleurs et des légumes et fruits et grandie à manger des pommes d'arbres sauvages et des petites prunes amères au point ou pour moi, ce sont les meilleurs fruits du monde. C'est vennu a devenir un sujet trop profond là... et je ne vois plus trop où je voulais en venir, mais bon, je vais laisser ça là o.o;
4) Mon père me demandait de le suivre dans notre forêt de l'autre côté de la rue, me donnait une bousolle une fois que j'était rendue à un endroit que je ne connaissait pas, et il me disait de retrouver le chemin à la maison... mais bon, au moins, maintenant, j'ai un bon sens de l'orientation. J'aimais cette forêt là. Nous avions une cabane avec un poele en fonte. Il y en avait un aussi à la maison qui était plus beau, et on l'allumait quand il y avait des pannes d'électricité. Ma mère paniquait toujours un peu, mais on se faisait des toast dessus et on regardait le feu. Ma mère était vraiment cool pour jouer avec nous. Elle nous habillait tous l'hiver un à un dans nos habits, elle nous jettait un à un dehors et ele nous rejoignait. Il faisait noir et on jouait à la cachette avec elle. C'était toujours vraiment intense et je ne peux pas dire avec certitude le nombre de fois que Claudine pleurait à cause qu'elle s'était (encore) cachée dans un bosquet de chardons. Les chiens était libérés aussi de leurs chaines et ils couraient partout. On avait vraiment du plaisir fou ses moments là.
Nous aimions et détestions en même temps les Power Rangers à un point tel où je ne sais pas trop comment c'en est arrivé là, mais Bruno à prit des batons de croquet pour enfant et il se promenait a genous avec les batons comme béquilles en chantant à tue tête "Go Go Power Rangers! Whooooo hooo hoooo hoooo hooo whooo hooo... "etc.
Les jours de grands vents, nous prenions la grande toile de protection pour la tente et allions dans un petit champ entre la maison et la grange en arrière. Bruno tennait deux coins et moi les deux autres et nous laissions gomfler la toile. Claudine prennait ensuite nos coins et elle pouvait bien voler un bon 2 mètres! Elle dit maintenant qu'elle n'a jamais eu aussi peur de sa vie (mais je ne la croit pas, elle dit ca de tout) ^-^;
5) Le héros de mon enfance était un de nos voisins. Noé était un garçon tout à fait charmant qui était toujours gentil avec mon frère et moi, même si nous étions plus jeunes que lui et il était même gentil avec Paul et Claudine. Un vrai gentleman a mon souvenir (qui sait, les choses étaient peut être différentes, ce sont selon mes souvenirs de jeune fille l'idolatrant). Ses parents avaient un chalet au Canton-de-Roxton et ils passaient quelques semaines en été qu'on allait toujours jouer avec lui a fabriquer des lances, se cacher dans ses cabanes dans les arbres ou grimper des roches. Je ne me souviens pas de quoi nous parlions trop trop, mais j'adorais ces moments là excepté pour certains trucs. Bruno voulait toujours imiter Noé et je suis une grande soeur surprotective, mais bon, Bruno finissait toujours par se faire mal, et souvent, c'était la faute à Noé. Ce n'était que des accidents, mais bon, ça à laissé pendant longtemps un sentiment de méfiance à cause de ça parce que la sécirité à Bruno c'était sacré pour moi. Il se faisait assez mal tout seul comme ca ¬_¬;
Donc où je voulais en venir, c'est que Noé à fait le truc le plus stupide et courageux que j'ai jamais vue de mes yeux de petite fille et ça va rester à jamais comme étant la chose qui m'inspirera toujours pour mes héros de mes histoires. Noé faisait le singe en se promenant à l'extérieur de sa cabane dans l'arbre et il était capable de garder son équilibre correctement. Bruno à décidé de l'imiter, à manqué son coup, et est tombé.
Ça s'est passé si vite. Je ne sais pas trop ce qui s'est passé, mais un moment, je disais à Bruno de ne pas aller, l'autre, il le faisait, et paf, il était tombé. J'essaie de faire le lien, mais je n'y arrive juste pas, parce que dans ma mémoire, Noé était loin de où Bruno était, mais quand j'ai regardée en bas de la cabane Bruno était sur Noé qui avait ammortit sa chute sur le gros tas de roches et de racines.
Je ne me souviens plus de grand choses de cette journée là ou d'après. En fait, je ne me souviens plus trop de Noé. J'était vraiment jeune. J'ai peut être même tout faux, ça fait toujours étrange pour moi cette histoire là, un peu comme les histoires de mystère que Bruno et Clau-clau (l'ancien surnom à Claudine, c'était cute) avons assistés. Le monde est tellement fantastique et mystérieux quand on est petits ^-^; Je ne sais pas si avoir été à la place de Noé, j'aurais agit pareil. J'espère que cette situation ne se repassera jamais, j'ai finallement pas envie de savoir si j'en suis capable.
Donc ca a tourné de même... pas du tout comme je m'y attendait o.o;
J'espère juste que Bruno et Claudine ne trouveront pas ce message là et ne le lincheront pas prochainement... je risque donc d'écrire plein de nouveau post juste pour le faire disparaitre.
Et... Laurie, j'espère que tu es consciente que j'ai juste Kri, David et toi comme personnes contactes de blog. Je me vois mal les tagger... à moins qu'ils ne l'ont jamais étés, ce qui faudrait que je vérifies.
